Résumé partie du 18 avril 2014 - Apparences Trompeuses (fin le 28 Narwain 1642) 5/5

Voici le résumé   

Enfin la lourde porte s’ouvrit sur trois Dunaëls qui surpris de nous voir s’enfuirent en rugissant. Nous les rattrapâmes dans une pièce relativement rectangulaire     où deux grosses tables massives émergent du centre la pièce, un ratelier au fond à gauche, des tonneaux, des sacs, un âtre d’où émane une chaleur qui donne envie de se reposer avec une bonne bouteille d’hydromel et un cuisseau de sanglier… Et au fond de la pièce un tonneau bloque la sortie.

L’Homme de collines le plus proche sombra sous les flèches, le second d’un majestueux coup d’épée à l’artère fémorale. Quand au troisième s’enfonça dans la pièce Armand à son cul le marteau de guerre virevoltant dans les airs sans le toucher. Mais Buserar, après quelques acrobaties, atterrit face au barbare et lui assena un coup qui l’étourdi.
Le capitaine Rebhorn après avoir interroger notre prisonnier le tua sans état d’âme. Khiva récupéra une dague au râtelier puis nous décidâmes de nous séparer - mais chose étrange pas de trace de Thorgrim - Cxasisto et Harald partirent avec les hommes de Rebhorn sécuriser le chemin du retour jusqu’au puit tandis que Khiva, Armand et Buserar accompagnèrent Rebhorn après avoir déplaçé le tonneau qui gène l’ouverture de la porte. La petite pièce qui suivit comporte un escalier en colimaçon et une porte avec un juda que bien entendu Buserar s’empressa de coulisser et avec l’aide de la lampe sourde réussi à réveiller un ours brun mal léché. En haut de l’escalier des rires et des champs parviennent à nos ouïes. A pas de velour, nos compagnons engagèrent l’ascension de l’escalier.

Arrivant au palier, dissimulés derrière le mur, ils purent voir un banquet avec les tables disposées en U où un homme et une femme animaient la fête d’un combat viril. Une cinquantaine de dunaëls s’empiffraient, buvaient bruyamment et riaient, chantaient… Des esclaves enchainés leurs servaient les vivres. En bout de table, sur un trône devait être assis le seigneur Torg couvert de nombreux tatouages et scarifications.
Se détachant du mur, nous entrâmes dans un corridor d’où des gémissements et claquements nous firent comprendre que des ébats, si on peut dire amoureux pour des barbares, avaient lieux. Continuant notre ascension dans l’escalier, nous débouchâmes sous les toits où par moment nous devions nous baisser. Enfin une grande porte en bois massif s’érige à notre gauche.

Armand nous montra ses talents de filou en débloquant la serrure et poussa les portes pour laisser place à la chambre du seigneur Torg.
Une somptueuse peau d’ours brun sert de paillasson puis une table et deux chaises devant un lit.
Sur le lit était étendue Siriele, 16 ans, un bon quintal, les bras et les jambes attachaient aux montants du lit. Du sang s’écoulait de son entrejambe. Khiva et Rebhorn qui contenait sa rage, allèrent détacher Siriele dans les vapeurs et notre druidesse lui administrer des soins.
Armand fut attiré par un gros coffre à droite du lit et s’empressa de l’examiner. Échouant le crochetage il força la serrure mais reçu en retour un carreau d’arbalète. Damned un piège !! En piteux état, Khiva dut après Siriele secourir Armand. Pendant ce temps, Buserar méditait devant la porte.

Du bruit nous alerta. Quelqu’un introduisait une clef dans la serrure et la trifouillait pensant la porte close. Rebhorn se plaça à droite de la porte et Buserar à gauche.
Entra alors Torg. Buserar tenta de l’étourdit à l’aide d’une technique héritée des moines de Námo. La peau tannée par les nombreuses luttes et les intempéries du Rhudaur eut raison des doigts de Buserar.
Hébété Torg comprit tardivement que la lame de Rebhorn se glissait sous sa gorge.
Torg nous baratina qu’il était impossible d’obtenir des informations de lui-même sous la menace de mort car tout homme des collines attendait de le remplacer. Rebhorn l’attacha et le bâillonna au lit.
Armand prit le contenu du coffre mais laissa une paire de botte. Étant donné que Siriele était pieds nus, Buserar (il n’y a que lui pour faire ça) coupa les bottes à la pointure de cette-ci et les noua aux chevilles avec quelques ficelles. (Sacrebleu c’était des bottes enchantées – pas de raison se faire tailler – donnant +10 en filature !!)
Nous descendîmes l’escalier en colimaçon en essayant d’être le plus rapide possible tant qu’Armand pouvait suivre. Le banquet s’était tut, mais dans le corridor des accouplements orgiaques avaient débuté. Arrivé en bas, des hurlements montèrent derrière nous. Les hommes de Torg nous poursuivaient !! Ils élaborèrent une stratégie : Armand, Khiva, Rebhorn et Siriele entrèrent dans la pièce d’arme tandis que Buserar rapidement décocha un revers de pieds et de talon pour ouvrit la cellule de l’ours puis retrouva ses amis en renversant le tonneau pour bloquer la porte que Khiva et Armand refermaient derrière lui.

S’engouffrant dans les catacombes, notre espoir de retrouver la sortie était proche grâce aux repères laissés par les rôdeurs de l’Arthedain. Malheureusement devant nous, mais de dos, des hommes des collines apparurent. Nous suivîmes Rebhorn, s’écartant du chemin balisé pour arriver dans une caverne face à quatre dunaëls.
Un combat s’ensuivit dans lequel Khiva se blessa proche de l’agonie. Nous terrassâmes les barbares et grâce à Armand nous retrouvions le puits où des hurlements et des craquements d’os faisaient écho.

Cachés derrière des rochers, nous distinguions un humanoïde reptilien, luisant de sang sous la lueur des étoiles, au-dessus d'un amoncellement de cadavres dunaëls, qui fendait l’air de ses griffes en tailladant au passage des infortunés hommes des collines.
Puis l’homme-lézard gravit la paroi du puits et s’enfuît. Nous retrouvâmes nos compères Harald et Cxasisto accompagnés des hommes de Rebhorn.
Une fois escaladé le puits grâce aux cordes de Rebhorn, une nouvelle journée pointait sa lueur hivernale. Nous sommes au matin du 28 Narwain 1642 TA.
Siriele étant sauve, nous décidions de ne pas nous éterniser car on pouvait entendre l’alerte retentir au village de Torg.
Chose inquiétante, aucune nouvelle de Thorgrim…
Descendant la colline, traversant un sous-bois pour s’arrêter un court instant dans une prairie, nous aperçûmes des hommes des collines venant vers nous mais s’arrêtant à l’arrivée d’une troupe d’orques brandissant des bannières noires ornaient d'une tour rouge. Les orques avaient dû essuyer une bataille d’après le nombre de boiteux, d’amochés dans leurs rangs.
Les dunaëls ouvrirent les portes du village pour les accueillir.

Qui sont ces orques ? Et où se trouve Thorgrim !!!!

Super résumé et quelle rapidité de mise à disposition! Merci

Héhé merci surtout qu'après avoir terminé, j'ai chopé un coup de froid jusqu'aux os. Du coup j'ai la crève. Mais une bonne infusion de sauge et ça redémarre !!

Hop, 800 XP!   

Oh tu l'avais déjà en arrivant, non? Tu as passé la soirée à éternuer et te moucher...

Darren Finfaol a écrit:Enfin la lourde porte s’ouvrit sur trois Dunaëls qui surpris de nous voir s’enfuirent en rugissant. Nous les rattrapâmes dans une pièce relativement rectangulaire     où deux grosses tables massives émergent du centre la pièce, un ratelier au fond à gauche, des tonneaux, des sacs, un âtre d’où émane une chaleur qui donne envie de se reposer avec une bonne bouteille d’hydromel et un cuisseau de sanglier… Et au fond de la pièce un tonneau bloque la sortie.

On en se fouterait pas un peu du MJ avec ce "relativement" rectangulaire? ^^

Et il n'y avait pas de cheminé dans la réserve.

Darren Finfaol a écrit:Qui sont ces orques ? Et où se trouve Thorgrim !!!!

Et aussi : Qu'elle est donc que cet Homme-Reptile si puissant? Et, SURTOUT, où est passé ce fichu ouistiti sacrebleu?!!!

Sinon très bon résumé d'une très bonne partie

Darren Finfaol a écrit:grâce à Armand nous retrouvions le puit

Merci merci ! Mais le plus important dans cette situation, c'est d'avoir l'air convaincant pour trouver le bon chemin. surtout lorsque l'on fait un jet pourri...  

En fait Amras, je me mouche souvent durant toute l'année. Mais j'ai plus qu'une simple crève... une gastro pour les fêtes de Pâques pfffff. Je suis juste entrain de me remettre.

Kalisthan > En fait, je n'ai pas voulu faire allusion à la chance que tu as eu pour pas nous perdre dans ce dédale car je n'arrivais pas à trouver une bonne phrase huhu