Résumé Partie du 19 Décembre 2015 - Portail Magique à Fornost-Erain 1/2

De retour à leur taverne (et non une auberge, on ne loge personne !), nous infortunés compagnons aperçoivent un pauvre erre attendant sur le pas de leur porte, Armand, mais pourquoi donc n'est-il pas entré ? Sir Theös serait-il absent ? Utilisant la clef de secours, nos comparses entre et se servent moult bière et un jus de pression (selon l'expression d'Armand   ) à Khiva. Une fois désaltéré, Armand leur conte l'histoire de l'Orbe de sombremagie, objet de cristal comprenant des éléments magiques d'Arcane et potentiel dévastateur (équivalant au dégâts d'une centaine de feu grégeois) selon les dires d'Harald. Comme de bien entendu, cette fameuse orbe est cupidement convoité par les Voleurs de l'Ombre (la pègre de Fornost) et a pénétrée clandestinement les murs de Fornost. Cette orbe est sensée servir d'Influence (objet de pouvoir) pour l'invocation d'un portail magique, dans les égouts de Fornost, par les sbires de Moïtz.

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Durant le discourt enthousiaste d'Armand, ce brave Buserar, alors qu'il presse le jus pour Khiva, trouve une missive écrite de la main de notre taulier. Cette dernière les informe du départ de Sir Theös dans le but de sauvé la vie de son fils (cause perdu à notre avis).

Voir le Fichier : Lettre_Sir_Theos_2.pdf

L'affaire se précise et se complique, nos amis apprennent que le culte de Moïtz est maintenant à la tête de la S.N.E.F. (Société de Nettoyage des Égouts de Fornost) et qu'effectivement tente de faire porter le chapeau de l'attentat à l'Angmar.

Après avoir palabré toute l'après-midi, Armand décide de contacter leur ami Rebhorn mais se heurte à la patrouille qui l'informe d'un couvre-feu instauré suite à l'attentat, ces derniers lui conseille de rédiger une missive qu'ils tenteront de transmettre à qui de droit. Armand s’exécute et remet promptement la dite lettre qui aborde l'histoire de le S.N.E.F. et des multiples danger que cour la cité.

Le lendemain, après un petit déjeuner revigorant, nos compagnons s'occupe chacun à leur manière : entretient de l'équipement, nettoyage des armes, lecture, etc. Alors que midi approche à grand pas, une estafette (courrier militaire), qui n'est autre que le garde contacté par Armand, l'informe que Maître Rebhorn n'est point disponible actuellement. Désappointé, Armand, utilisant de ce fait plume et encre de sir Theös, écrit une nouvelle lettre pour le Rôdeur. Khiva, usant de son charme naturel et elfique obtient des informations à propos de la S.N.E.F.
Après le départ de l'estafette, Harald émet l'hypothèse que Rebhorn doit diriger l'expédition de Tharbad.
Un rapide conciliabule, et notre équipe décide d'effectuer une petite visite dans les locaux techniques de la S.N.E.F. au sein des bas-quartier afin de trouver des indices à propos de l'orbe et dans l'espoir de la retrouver. Face à de hauts bâtiments gardé par trois séides en armes (arcs) faisant des rondes, nos comparses décident, grâce à l'arrivée inopiné d'une patrouille indiquant aux gardiens l'éminence du début du couvre-feu, de se faufiler dans une ruelle étroite afin d'établir un plan et de tenter une escalade discrète du bâtiment. Armand, s'aidant de ses griffes d'escalade, parviens rapidement en vue du faîte du toit où il y découvre deux lucarnes à tabatière (voir image dans le spoiler) entrouverte d’où filtre de la lumière. Alors que ses compagnons attendent, ce dernier explore la toiture et tout particulièrement la lucarne le plus proche de la rue. Par la suite, une corde providentielle permet au reste de la troupe de rejoindre leur camarade isolé, chose plus ardu pour notre ami Harald. Un rapide compte-rendu et voilà la petite troupe qui entre en action.

Alerté par le cri de leur camarade, les VdO restant de la charpente se dirigent vers Armand et Harald, celui au sol se précipite vers le cabanon dans le but de l'ouvrir. Khiva tente de le viser mais n'y parviens pas, Thorgrim décide donc d'ouvrir la lucarne à sa manière, avec force musculaire, pendant que Buserar remonte la corde leur ayant servie pour atteindre le toit. Voyant les VdO se rapprocher de la position des ses deux compagnons, Khiva décoche une flèche en direction de ce dernier, mais ne fait que transpercer la cape de l'un d'eux. Sur le toit, Armand referme la lucarne du pied, alors que les VdO tentent d’accéder au toit. Harald, de son côté, se lance dans la préparation d'un sort.

Au milieu de la nuit, nos infortunés comparses retrouvent leur taverne, épuisés et las, se soignent et finissent par se coucher.

Après un repos de quatre heures bien mérité, le lendemain matin dès l'aube du 10 Ivanneth, ils se mettent en route. Croisant une patrouille, Armand leur donne le courrier... Un peu plus tard, dans une ruelle à proximité de l'artère principale, nos amis trouvent ce qu'ils cherchent : un accès discret aux égouts. Ils y descendent en empruntant un escalier métallique après avoir pris soin d'en refermer l'accès. Thorgrim en tête, et en file indienne, les voilà parti en expédition dans un endroit humide, sale, nauséabond... Après une heure d'exploration, ils ont le pressentiment de n'être pas seul.
Au détour d'un boyau, quelque chose est accroupi au loin dans le halo d'une lanterne posé à ses pieds, semble déposé un objet destiné à nos aventuriers. En s'approchant, Armand découvre une lettre adressé à Khiva, à son plus grand étonnement.
Empruntant un long tunnel lugubre guidé par des bruits, nos compagnons finissent par distinguer une faible lumière, elle semble en renfermer la source.